Prise en charge

Sapien faucibus et molestie ac feugiat sed lectus vestibulum mattis. Aliquet porttitor

Mise à jour

  • HAS
  • PILLY

Synthèse

  • Virale avant 3 ans
  • Test de diagnostic rapide si :
  • Enfant 3-15 ans
  • >15 et Score Mac Isaac ≥ 2
  • Pas d’autre examen complémentaire
  • Angine de Vincent
  • Syphilis
  • Diphtérie
  • Angine bacterienne à gonocoque
  • Mononucléose infectieuse
Traitement
  • Temporisation de l’antibiothérapie 48h sauf symptômes sévères
  • Amoxicilline 1 g 3 fois par jour pendant 5 jours
  • Paracetamol 1 g /6h, max 4 g/24h
  • Temporisation de l’antibiothérapie 48h sauf symptômes sévères
  • Amoxicilline 80 mg/kg/j (max 3 g/j) en 2 prises/j pendant :
  • 5 jours
  • 10 jours Si :
  • otorrhée
  • récidive +4 jours après la fin des antibiotiques
  • Paracetamol 15 mg/kg/6h, max 4 prises/24h
  • Amoxicilline 80 mg/kg/j (max 2 g/j) en 2 prises/j pendant 10 jours
  • Paracetamol 15 mg/kg/6h, max 4 prises/24h

Definition

ex maladie coronarienne stable

Manifestation clinique au long cours d’une cardiopathie ischémique.

Les 2 complications principales sont la mort subite et l’insuffisance cardiaque.

Lorsque la coronaropathie est traitée selon les recommandations internationales, le taux de mortalité est identique à celui de la population générale (étude CORONOR).

Comorbidités souvent associées chez le coronarien: maladie cardioneurovasculaire (38%), diabète (29%), prise de psychotropes (23%).

Angor vasospastique

Angor (angine de poitrine) souvent d’allure typique (voir Clinique) survenant au repos mais pas (ou rarement) à l’effort. Prédominance nocturne.

Sensibilité aux dérivés nitrés. Le diagnostic d’angor vasospastique nécessite un bilan cardiologique exhaustif.

Traitement par inhibiteur calcique et dérivés nitrés de longue durée d’action. En cas de spasme coronarien post-stent on utilise la nifédipine.

Coronaropathie microvasculaire primaire

L’angor avec coronaires lisses est rare (< 10%). L’ensemble du bilan cardiovasculaire est normal. Traitement par statine et bêtabloquant.

Sacciforme
fusiforme

Clinique

Angor

  1. Douleur thoracique rétrosternale* déclenchée par: l’effort, la digestion ou le stress
  2. Douleur qui dure plusieurs minutes (< 20 minutes)
  3. Douleur soulagée par le repos ou la nitroglycérine (< 5 minutes)

Une dyspnée d’effort peut être considérée comme un équivalent d’angor en l’absence d’autre cause.La probabilité pré-test est calculée selon l’âge, le sexe, l’angor.

* Douleur ressentie: thoracique rétrosternale, épigastrique, mandibulaire, entre les épaules, ou le bras/poignet/main.
Décrite comme une pression, une oppression ou une lourdeur, parfois comme un étranglement, une constriction ou une brûlure.


Angor typique (ou angine de poitrine stable)Les 3 critères sont remplis.Angor atypique (probable)2 critères remplis.Angor peu probable1 seul critère rempli.

  • Facteurs de risque cardiovasculaires
    Tabac, dyslipidémie, diabète (x2), hypertension artérielleobésité, hérédité cardiovasculaire (événement cardiovasculaire ou maladie cardiovasculaire au premier degré avant 55/65 ans chez un H/F).
  • Antécédents
    Cardiovasculaires (IDM, FAAOMI), rénaux, pulmonaire, ménopause précoce.
  • Autres toxiques
  • Traitements en cours
  • Profession
    • Horaires atypiques, intensité physique, exposition froid ou chaleur ou pollution, sédentarité, stress
    • Risque mortel: pilote de ligne, chauffeur routier, athlète nécessite un dépistage coronarien
  • Symptômes angineux et cardiovasculaires
    • Caractéristiques de la douleur
    • Angor, dyspnée, limitations à l’effort
  • Retentissement sur la vie quotidienne
  • Dysfonction érectile
    Aggravée par thiazidique et BB (sauf nébivolol). IPDE5 possibles sauf si traitement par dérivés nitrés.
  • Dépister des apnées du sommeil

Examen clinique

  • Poids, taille, IMC, périmètre abdominal
  • Pression artérielle, fréquence cardiaque
  • Pouls périphériques et mesure de l’IPS
  • Souffle vasculaire (carotidien, aortique, fémoral)
  • Rechercher des signes:
    • Insuffisance cardiaque
      Dyspnée, orthopnée, intolérance à l’exercice, fatigue, œdèmes des chevilles, Tachycardie, galop, turgescence jugulaire, reflux hépato-jugulaire, hépatalgie d’effort/repos, hépatomégalie, œdèmes des membres inférieurs prenant le godet, ascite.
    • Anémie
      Dyspnée, fatigue, vertiges, pâleur, tachycardie.
    • Hypertension artérielle
    • Valvulopathie
    • Autres organes: maladie rénale, pulmonaire
Douleur
  • lombaire basse, le plus souvent lombofessière
  • Circonstances :
  • une activité sportive/professionnelle
  • une posture ou une mauvaise position
  • les efforts :
  • soulèvement = levier avec son rachis
  • rotations = origine discale probable
  • sans cause retrouvée/reveil
  • les irradiations :
  • épines iliaques postéro-supérieures/face postérieure de la cuisse/fosse iliaque
  • Rarement région hypogastrique, pli inguinal
  • Rythme : mécanique : diurne, augmentant avec l’activité ou le port de charges, les efforts, la station debout ou assise prolongée, soulagée par le repos et le décubitus.
  • En période aiguë ou subaiguë, les douleurs peuvent prendre des caractéristiques dites « inflammatoires » : nocturne, réveil matinal prématuré, dérouillage matinal (en général < 30 minutes)
Raideur du rachis avec mobilités sub/normales
antécédents épisodes similaires

l’absence de signes généraux ou de contexte particulier

Eliminer :
  • trouble de la statique rachidienne :
  • hyperlordose lombaire/ scoliose et attitude scoliotique ancienne
  • Raideur lombaire asymétrique
  • Douleur élective épine rachidienne
  • Douleur sacro iliaques
  • Examen Neurologique normal
Titre

Tympan congestif (inflammatoire rouge ou hypervascularisé)

Titre

Tympan congestif avec épanchement rétro-tympanique (opacité rétrotympanique, disparition des reliefs et du triangle lumineux, bombement du tympan)

Facteurs de risque

Microtraumatismes répétés
Activités professionnelles à risque
Surpoids
Sédentarité

Origine discale :
  • Douleur déclenché par rotations/effort ou traumatisme
  • impulsive à la toux / défécation / rire / eternuement
  • âge entre 20 et 60 ans
Origine Arthrosique :
  • Douleur favorisée :
  • hyperextension / procubitus
  • améliorée par l’antéflexion
  • hyperesthésie au « palper-rouler
  • facteurs favorisants :
  • hyperlordose
  • surpoids / syndrome trophostatique
  • scoliose /dysplasies / instabilités discovertébrales 
  • âge > 50 ans
Facteur de Chronicisation

Drapeaux jaunes
psychosocial :

– Dépression / Anxiété
– Détresse affective 
– Peur de la douleur et du traumatisme
– Catastrophisme
– Fausses croyances / Informations
– Excès de sollicitude (famille, médecins)
– Conflit familial

Drapeaux noire
Professionnels :

– Arrêts de travail prolongés
– Recherche de bénéfices secondaires 
– Conflit professionnel 
– Insatisfaction au travail 
– Conflits et litiges avec une assurance, la Sécurité sociale, un expert
– Excès de sollicitude (famille, médecins)
– Conditions de travail difficiles
– Type d’activité professionnelle
– Harcèlement / burn-out

Examens complémentaires :

1ère intention :

Biologie

NFS
Glycémie à jeun
HbA1c
Bilan lipidique
Ionogramme sanguin
Créatininémie avec DFG CKD-EPI
Uricémie
TSH
NT-proBNP

ECG

ECG de repos
Holter-ECG si: suspicion de troubles du rythme, vasospastique

Chez un patient asymptomatique de 40 ans :

Dégénérescence discale dans 68 %
protrusion discale dans 33 %
arthrose articulaire postérieure dans 18 %

Imagerie

Échocardiographie transthoracique

Radiographie thoracique

Doppler des artères rénales

2ème intention si coronaropathie confirmée

Imagerie

– échodoppler des troncs supra-aortiques (TSA)

– échodoppler de l’aorte abdominale

– échodoppler des membres inférieurs

Traitement :

Principes généraux

Chirurgie exceptionnelle pour lombalgies communes
On ne traite pas une image, mais la symptomatologie
Réassurance et reprise du mouvement essentielles
Attention Escalade thérapeutique / Dépendance Opioïdes

L’arrêt du tabac est la mesure la plus efficace avec une réduction de la mortalité de 36% après un infarctus du myocarde

Réévaluation du traitement à chaque consultation:

Correction des facteurs de risque cardiovasculaire

  • Arrêt du tabac (réduit la mortalité de 36%)
  • Réduction de l’alcool à moins de 10 verres par semaine
  • Statine systématique
  • Hypertension artérielle (ESH 2023)
    • Seuil d’initiation de 130/80 mmHg (dite normale haute)
    • Cible de la population générale: 120-129 / 70-79 mmHg
  • Correction d’un surpoids et d’une obésité abdominale
  • Régime méditerranéen
  • Limiter les apports en sel à 5 g/j
  • Activité physique adaptée (APA) régulière
    • Programme d’APA; min 150 min/sem endurance, renforcement musculaire 2-3/sem avec 10-15 répétitions
    • Sédentarité < 7h/j, bouger 1 minute/h
  • Si diabète de type 2: HbA1c cible ~ 7%, suivi diabétologique, iSGLT2 ou GLP-1 selon le profil

Prise en charge du syndrome coronarien chronique

Mesures spécifiques pour la prise en charge de la cardiopathie ischémique stable:

  • Réadaptation cardiaque systématique
  • Symptômes à l’effort: dérivé nitré d’action rapide (Isocard®, Natispray®)
  • Anti-angineux de première intention: Bêtabloquant (BB) ou inhibiteur calcique (ICa)
    • Considérer d’emblée l’association BB + ICa-DHP (voir le tableau ci-dessous)
    • Fréquence cardiaque cible: 55-60 bpm (ESC) et 130 bpm à l’effort (Collège)
    • Réévaluation toutes les 2-4 semaines initialement
    • L’arrêt d’un anti-angineux nécessite une décroissance progressive
    • Si angine persistante, anti-angineux de deuxième intention: nitré d’action longue patch ou oral (pour lesquels une tolérance s’installe, nécessitant une période libre de 10-14 h/j)
      ou nicorandilivabradinetrimétazidine (ranolazine non disponible en France), voir tableau plus bas
  • Aspirine 75-100 mg/j à considérer en l’absence d’IDM ou de revascularisation
    • Clopidogrel 75 mg/j si intolérance (sans IPP), AOMI ou AIC/AIT
    • Voire bi-antithrombotique si haut risque ischémique (score Precise-DAPT)
    • IPP si haut risque de saignement (à venir: ESC DAPT)
  • Vaccination grippe
  • Prise en charge psychologique
    Dont thérapie cognitive et comportementale (TCC) pour accompagner le changement de mode de vie.
  • Socio-professionnel: adaptation du poste de travail
  • Éducation thérapeutique
  • Déclarer l’ALD n°5
    Indications: toute ischémie myocardique objectivement documentée (ECG, épreuve d’effort, scintigraphie myocardique de perfusion, échographie de stress, échographie d’effort, holter ECG, coronarographie).
  • Prise en charge des comorbidités:
    • Post-infarctus, insuffisance cardiaque, dysfonction VG ou diabète: IEC voire ARA2
    • ACFA: utiliser les mêmes seuils d’anticoagulation, préférer un AOD, considérer d’associer aspirine/clopidogrel si IDM, haut risque ischémique sans risque élevé de saignement

La décision d’une revascularisation myocardique (stent ou autre) relève uniquement du cardiologue et n’est donc pas abordée ici.

Un suivi coordonné par un infirmier de pratique avancée (IPA) est équivalent au suivi par un généraliste (Wood 2008)

Après revascularisation ou syndrome coronarien aigu (SCA) récent (< 12 mois): au moins 2 consultations dans l’année, échocardiographie dans les 8 à 12 semaines et visite de pré-reprise.

Ensuite, le suivi proposé pour un sujet asymptomatique est:

  • Suivi cardiologique annuel
  • ECG à chaque visite
  • Bilan lipidique tous les 1-2 ans
  • Échocardiographie et épreuve d’effort tous les 3-5 ans
  • Réadaptation cardiaque si baisse des performances

Formes aiguës

AINS :

Naproxene 550 mg : 1 matin et soir 5 jours

Ajout IPP si > 50 ans ou ATCD de Gastrite :
– ESOMEPRAZOLE 20 mg : 1 par jour la durée du traitement par AINS

Ceinture lombaire possible, durée courte et sans immobilisation stricte

Décontractant musculaires non validés
Corticoides non efficaces

Antalgiques :

Paracetamol : 1g toute les 6h max 4 par 24h
ou
Palier 2 :
– Tramadol 50-100 mg toute les 6h max 8 par 24h
– Lamaline 1 à 2 doses toute les 6h max 8 par 24h

Rééducation / Kinésithérapie

travail de proprioception, de renforcement musculaire

Mesures associées

– Ceinture lombaire possible, durée courte et sans immobilisation stricte

Ensemble de connaissances à acquérir au cours des consultations d’éducation thérapeutique en cas de syndrome coronarien chronique:

  • Retrouver un sentiment de maîtrise et de sécurité en adoptant un nouveau projet de vie
  • Connaître et modifier son mode de vie pour mieux contrôler ses facteurs de risque cardiovasculaire
  • Savoir pratiquer et interpréter les automesures (hypertension, diabète)
  • Connaître et expliquer sa maladie
  • Repérer les facteurs déclenchants et les signes précurseurs de l’angor
  • Utiliser le traitement de la crise à bon escient et savoir quand appeler le 15
  • Connaître le traitement de fond, les effets bénéfiques et indésirables, et les modalités de prises
  • Participer régulièrement au suivi (renouvellements, médecine du travail en cas de besoin)
  • Repérer et corriger les erreurs alimentaires
  • Découvrir et mettre en place de nouvelles habitudes culinaires riches en plaisir gustatif
  • Activité physique
    • Découvrir ou redécouvrir les bienfaits d’une pratique quotidienne, objectifs raisonnables, accompagnement si besoin
    • Reprendre des activités antérieures en connaissant et respectant les limites de sécurité précisées par le cardiologue
  • Connaître les effets délétères du tabagisme et élaborer une balance bénéfices/risques du sevrage
  • S’engager dans le sevrage avec l’accompagnement nécessaire

HAS

  • FC cible 55-60/min, pas d’arrêt brutal des BB ou anti-angineux

Connaissance des indications:

  • du recours au cardiologue (en sus du suivi régulier) si:
    • exacerbation des symptômes angineux ou de la dyspnée
    • effets indésirables médicamenteux
    • fibrillation auriculaire nouvellement diagnostiquée
    • échec d’une bithérapie anti-angineuse à dose maximale tolérée
    • syncope ou lipothymies
  • du recours à la réadaptation cardiaque
  • du recours à l’hospitalisation
    • angor instable ou SCA
    • besoin d’explorations invasives
    • insuffisance cardiaque rapidement évolutive
    • apparition d’un trouble du rythme mal toléré ou de mauvais pronostic
  • Prise en charge pluridisciplinaire avec plan personnalisé de soins

Savoir gérer une crise d’angor

Prise en charge pour l’auto-gestion de la douleur angineuse:

  • Arrêter l’effort en cas de signes d’angor
  • Avoir sur soi le dérivé nitré d’action immédiate (0,3-0,6 mg sublingual ou 0,4 mg spray sans déglutir)
  • S’assoir et prendre une bouffée sublinguale
  • S’allonger en cas de vertiges
  • Les autres effets possibles sont: maux de têtes, rougeur et bouffées de chaleur
  • Répéter toutes les 5 minutes jusqu’à disparition des symptômes sans dépasser 15 minutes (10 minutes selon HAS) ou 1,2 mg
  • Appeler le 15 en cas du dépassement du délai précisé ci-dessus (10-15 minutes ou 1,2 mg)
  • Faire part au médecin de la survenue de douleurs intermittentes
  • Une dose peut être prise avant un effort déclenchant les symptômes
  • La trinitrine ne peut être prise avec d’autres vasodilatateurs comme les traitements de la dysfonction érectile (sildénafil Viagra®, tadalafil Cialis®)

HAS et ESC

Indications :
  • Hypertrophie amygdalienne symptomatique, stades 3 et 4 de Brodsky
  • Abcès périamygdalien récidivant
  • Angines ou pharyngite récidivantes
  • ≥ 7 angines sur l’année ou > 5 angines/an pendant 2 ans ou > 3 angines/an pendant 3 ans
  • Amygdalite chronique
  • Sensation de corps étranger avec dysphagie modérée, otalgie, haleine fétide, oropharynx érythémateux, suintement permanent et régionaux > 3 mois et résistant au traitement médical

Traitement associé dans les Formes Chroniques

Traitement similaire lors des poussées


Rééducation / Kinésithérapie

travail de proprioception, de renforcement musculaire

Reprise activité physique

– Progressive / Début intensité faible
– Aucun sport n’est contre-indiqué
– Possible si patient toujours douloureux

La meilleure activité physique est celle qui plaît au patient et qui est facilement réalisable, car c’est celle qui sera maintenue sur le long terme

prise en charge socioprofessionnelle

– Adapter si besoin le poste de travail
– Faciliter une reprise professionnelle
– les patients peuvent contacter leur médecin du travail

prise en charge socioprofessionnelle

– Adapter si besoin le poste de travail
– Faciliter une reprise professionnelle
– les patients peuvent contacter leur médecin du travail
– Prévention et analyse milieu professionnel

Ostéopathie

– Des manipulations peuvent faire céder une contracture musculaire rebelle

Correction trouble statique

– inégalité de longueur de membre si > 2 cm

Cure thermales

En cas de polyarthrose invalidante

Learn More

Avis Spécialisé :

Infiltration > Rhumatologue ou Radiologue

– intradiscales ont été proposées avec un certain résultat mais de courte durée lors des atteintes inflammatoires de type Modic 1 en IRM

Chirurgie > Neurochirurgien

– Exceptionnelle
– limitée à des cas avérés d’instabilité discovertébrale.
> Arthrodèse ou prothèse discale

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